法语童话故事
来源:学生作业帮助网 编辑:作业帮 时间:2024/11/13 22:08:07 体裁作文
篇一:法语童话: Les Trois Dragons三龙
法语童话: Les Trois Dragons三龙
Les Trois Dragons
par Christine
Il était une fois un chemin
Au bord de ce chemin, il y avait la maison de Dja?dé.
Dja?dé était un petit gar?on pareil aux autres. Mais si on le regardait très attentivement, on voyait qu'il était différent. Il portait une frange brune et ses yeux étaient verts. Il avait de petites jambes, mais courait très vite. Non, Dja?dé n'était pas comme les autres. Les autres étaient roux ou blonds, ils transpiraient et ne pensaient qu'à se battre. Pas Dja?dé.
Dja?dé n'avait pas seulement une frange brune et des yeux verts. Il était aussi très têtu. Dans son village, on dit encore "têtu comme Dja?dé"
篇二:Blanche 法语版白雪公主童话
Blanche-Neige et les Sept Nains
Cela se passait en plein hiver et les flocons de neige tombaient du ciel comme un duvet léger轻盈的绒毛. Une reine était assise à sa fenêtre encadrée簇拥 de bois d'ébène乌黑的 et cousait. Tout en tirant l'aiguille针, elle regardait voler les blancs flocons絮片. Elle se piqua刺 au doigt手指 et trois gouttes滴答 de sang 血液tombèrent sur la neige. Ce rouge sur ce blanc faisait si bel effet为此 qu'elle se dit : Si seulement j'avais un enfant aussi blanc que la neige, aussi rose que le sang, aussi noir que le bois de ma fenêtre ! Peu de temps après, une fille lui naquit ; elle était blanche comme neige, rose comme sang et ses cheveux étaient noirs comme de l'ébène乌木. On l'appela Blanche-Neige. Mais la reine mourut en lui donnant le jour.
Au bout d'une année, le roi épousa娶 une autre femme. Elle était très belle ; mais elle était fière高傲的 et vaniteuse爱慕虚荣 et ne pouvait souffrir que quelqu'un la surpassat超过 en beauté. Elle possédait拥有 un miroir magique. Quand elle s'y regardait en disant : Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?
Le miroir répondait :
Madame la reine, vous êtes la plus belle au pays.
Et elle était contente. Elle savait que le miroir disait la vérité实情. Blanche-Neige, cependant然而, grandissait et devenait de plus en plus belle. Quand elle eut atteint ses dix-sept ans elle était déjà plus jolie que le jour et plus belle que la reine elle-même. Un jour que celle-ci demandait au miroir:
Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?
Celui-ci répondit :
Madame la reine, vous êtes la plus belle ici
Mais Blanche-Neige est encore mille fois plus belle.
La reine en fut épouvantée惊恐. Elle devint jaune et verte de jalousie妒忌. à partir de là, chaque fois qu'elle apercevait Blanche-Neige, son coeur se retournait dans sa poitrine tant elle éprouvait痛苦 de haine à son égard看重. La jalous妒忌ie et l'orgueil 傲慢croissaient增长 en elle comme mauvaise herbe. Elle en avait perdu le repos, le jour et la nuit. Elle fit venir un chasseur针眼 et lui dit :
- Emmène无 l'enfant dans la forêt ! je ne veux plus la voir. Tue-la杀害 et rapporte-moi pour preuve证据 de sa mort ses poumons肺 et son foie肝.
Le chasseur猎人 obéit顺从 et conduisit Blanche-Neige dans le bois. Mais quand il eut dégainé拔 son poignard匕首 pour en percer刺穿 son coeur innocent纯洁的, elle se mit à pleurer et dit:
- 0, cher chasseur, laisse-moi la vie ! je m'enfoncerai插入 au plus profond de la forêt et ne rentrerai jamais à la maison.
Et parce qu'elle était belle, le chasseur eut pitié d'elle et dit:
- Sauve-toi, pauvre enfant !
Les bêtes de la forêt auront t?t fait de te dévorer吞食 ! songeait-il考虑. Et malgré tout, il se sentait soulagé宽慰 de ne pas avoir d? la tuer杀害. Un marcassin passait justement. Il le tua de son poignard, prit ses poumons肺 et son foie 肝et les apporta à la reine comme preuves de la mort de Blanche-Neige. Le cuisinier re?ut ordre de les apprêter et la méchante恶毒的 femme les mangea, s'imaginant qu'ils avaient appartenu à Blanche-Neige.
La pauvre petite, elle, était au milieu des bois, toute seule. Sa peur était si grande qu'elle regardait toutes les feuilles de la forêt sans savoir ce qu'elle allait devenir. Elle se mit à courir奔跑 sur les cailloux卵石 pointus et à travers les épines荆棘. Les bêtes兽类 sauvages野生的bondissaient蹦跳 autour d'elle, mais ne lui faisaient aucun mal. Elle courut jusqu'au soir, aussi longtemps que ses jambes purent la porter. Elle aper?ut alors une petite maisonnette小屋子 et y pénétra钻进 pour s'y reposer. Dans la maisonnette, tout était minuscule极小的, gracieux亲切的 et propre. On y voyait une petite table couverte d'une nappe桌布 blanche, avec sept petites assiettes et sept petites cuillères, sept petites fourchettes et sept petits couteaux, et aussi sept petits gobelets五角杯. Contre朝向 le mur, il y avait sept petits lits alignés整齐的 les uns à c?té des autres et recouverts de draps织物 tout blancs. Blanche-Neige avait si faim et si soif qu'elle prit dans chaque assiette un peu de légumes et de pain et but une goutte点 de vin dans chaque gobelet: car elle ne voulait pas manger la portion一份食物 tout entière整个的 de l'un des convives宾客. Fatiguée, elle voulut ensuite se coucher. Mais aucun des lis ne lui convenait ; l'un était trop long, l'autre trop court. Elle les essaya tous. Le septième, enfin, fut à sa taille. Elle s'y allongea, se confia托付 à Dieu et s'endormit.
Quand la nuit fut complètement tombée, les propriétair所有者es de la maisonnette arrivèrent. C'était sept nains 侏儒qui, dans la montagne, travaillaient à la mine矿山. Ils allumèrent点燃 leurs sept petites lampes et quand la lumière光线 illumina la pièce, ils virent变色 que quelqu'un y était venu, car tout n'était plus tel qu'ils l'avaient laissé.
- Le premier dit: Qui s'est assis sur ma petite chaise ?
- Le deuxième: Qui a mangé dans ma petite assiette ?
- Le troisième: Qui a pris de mon pain ?
- Le quatrième: Qui a mangé de mes légumes ?
- Le cinquième: Qui s'est servi de ma fourchette ?
- Le sixième: Qui a coupé avec mon couteau ?
- Le septième: Qui a bu dans mon gobelet ?
Le premier, en se retournant, vit que son lit avait été dérangé.
- Qui a touché à mon lit ? dit-il.
Les autres s'approchèrent en courant et chacun s'écria :
- Dans le mien aussi quelqu'un s'est couché !
Mais le septième, quand il regarda son lit, y vit Blanche-Neige endormie. Il appela les autres, qui vient bien vite et poussèrent des cris étonnés. Ils prirent leurs sept petites lampes et éclairèrent le visage de Blanche-Neige.
- Seigneur Dieu ! Seigneur Dieu ! s'écrièrent-ils ; que cette enfant est jolie !
Ils en eurent tant de joie qu'ils ne l'éveillèrent pas et la laissèrent dormir dans le petit lit. Le septième des nains coucha avec ses compagnons, une heure avec chacun, et la nuit passa ainsi.
Au matin, Blanche-Neige s'éveilla. Quand elle vit les sept nains, elle s'effraya. Mais ils la regardaient avec amitié et posaient déjà des questions :
- Comment t'appelles-tu ?
- Je m'appelle Blanche-Neige, répondit-elle.
- Comment es-tu venue jusqu'à nous ?
Elle leur raconta que sa belle-mère avait voulu la faire tuer, mais que le chasseur lui avait laissé la vie sauve et qu'elle avait ensuite couru tout le jour jusqu'à ce qu'elle trouvat cette petite maison. Les nains lui dirent:
- Si tu veux t'occuper de notre ménage, faire à manger, faire les lits, laver, coudre et tricoter, si tu tiens tout en ordre et en propreté, tu pourras rester avec nous et tu ne manqueras de rien.
- D'accord, d'accord de tout mon c?ur, dit Blanche-Neige.
Et elle resta auprès d'eux. Elle s'occupa de la maison. le matin, les nains partaient pour la montagne où ils arrachaient le fer et l'or ; le soir, ils s'en revenaient et il fallait que leur repas f?t prêt. Toute la journée, la jeune fille restait seule ; les bons petits nains l'avaient mise en garde: - Méfie-toi de ta belle-mère ! Elle saura bient?t que tu es ici ; ne laisse entrer personne !
La reine, cependant, après avoir mangé les poumons et le foie de Blanche-Neige, s'imaginait qu'elle était redevenue la plus belle de toutes. Elle se mit devant son miroir et demanda:
Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?
Le miroir répondit :
Madame la reine, vous êtes la plus belle ici,
Mais, par-delà les monts d'airain,
Auprès des gentils petits nains,
Blanche-Neige est mille fois plus belle.
La reine en fut bouleversée ; elle savait que le miroir ne pouvait mentir. Elle comprit que le chasseur l'avait trompée et que Blanche-Neige était toujours en vie. Elle se creusa la tête pour trouver un nouveau moyen de la tuer car aussi longtemps qu'elle ne serait pas la plus belle au pays, elle savait que la jalousie ne lui laisserait aucun repos. Ayant finalement découvert un stratagème, elle se farda le visage et s'habilla comme une vieille marchande ambulante. Elle était méconnaissable.
Ainsi déguisée, elle franchit les sept montagnes derrière lesquelles vivaient les sept nains. Elle frappa à la porte et dit :
- J'ai du beau, du bon à vendre, à vendre !
Blanche-Neige regarda par la fenêtre et dit:
- Bonjour, cher Madame, qu'avez-vous à vendre ?
- De la belle, de la bonne marchandise, répondit-elle, des corselets de toutes les couleurs.
Elle lui en montra un tressé de soie multicolore.
? Je peux bien laisser entrer cette honnête femme ! ? se dit Blanche-Neige. Elle déverrouilla la porte et acheta le joli corselet. - Enfant ! dit la vieille. Comme tu t'y prends ! Viens, je vais te l'ajuster comme il faut !
Blanche-Neige était sans méfiance. Elle se laissa passer le nouveau corselet. Mais la vieille serra rapidement et si fort que la jeune fille perdit le souffle et tomba comme morte.
- Et maintenant, tu as fini d'être la plus belle, dit la vieille en s'enfuyant.
Le soir, peu de temps après, les sept nains rentrèrent à la maison. Quel effroi fut le leur lorsqu'ils virent leur chère Blanche-Neige étendue sur le sol, immobile et comme sans vie ! Ils la soulevèrent et virent que son corselet la serrait trop. Ils en coupèrent vite le cordonnet. La jeune fille commen?a à respirer doucement et, peu à peu, elle revint à elle. Quand les nains apprirent ce qui s'était passé, ils dirent:
- La vieille marchande n'était autre que cette mécréante de reine. Garde-toi et ne laisse entrer personne quand nous ne serons pas là ! La méchante femme, elle, dès son retour au chateau, s'était placée devant son miroir et avait demandé :
Miroir, Miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?
Une nouvelle fois, le miroir avait répondu:
Madame la reine, vous êtes la plus belle ici.
Mais, par-delà les monts d'airain,
Auprès des gentils petits nains,
Blanche-Neige est mille fois plus belle.
Quand la reine entendit ces mots, elle en fut si bouleversée qu'elle sentit son c?ur étouffer. Elle comprit que Blanche-Neige avait recouvré la vie.
- Eh bien ! dit-elle, je vais trouver quelque moyen qui te fera dispara?tre à tout jamais !
Par un tour de sorcellerie qu'elle connaissait, elle empoisonna un peigne. Elle se déguisa à nouveau et prit l'aspect d'une autre vieille femme. Elle franchit ainsi les sept montagnes en direction de la maison des sept nains, frappa à la porte et cria:
- Bonne marchandise à vendre !
Blanche-Neige regarda par la fenêtre et dit:
- Passez votre chemin ! je n'ai le droit d'ouvrir à quiconque.
- Mais tu peux bien regarder, dit la vieille en lui montrant le peigne empoisonné. Je vais te peigner joliment.
La pauvre Blanche-Neige ne se douta de rien et laissa faire la vieille ; à peine le peigne eut-il touché ses cheveux que le poison agit et que la jeune fille tomba sans connaissance.
- Et voilà ! dit la méchante femme, c'en est fait de toi, prodige de beauté !
Et elle s'en alla. Par bonheur, le soir arriva vite et les sept nains rentrèrent à la maison. Quand ils virent Blanche-Neige étendue comme morte sur le sol, ils songèrent aussit?t à la maratre, cherchèrent et trouvèrent le peigne empoisonné. Dès qu'ils l'eurent retiré de ses cheveux, Blanche-Neige revint à elle et elle leur raconta ce qui s'était passé. Ils lui demandèrent une fois de plus d'être sur ses gardes et de n'ouvrir à personne.
Rentrée chez elle, la reine s'était placée devant son miroir et avait demandé:
Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au Pays ?
Comme la fois précédente, le miroir répondit:
Madame
la reine, vous êtes la plus belle ici.Mais, par-delà les monts d'airain,
Auprès des gentils petits nains,
Blanche-Neige est mille fois plus belle.
Quand la reine entendit cela, elle se mit à trembler de colère.
- Il faut que Blanche-Neige meure ! s'écria-t-elle, dussé-je en périr moi-même !
Elle se rendit dans une chambre sombre et isolée où personne n'allait jamais et y prépara une pomme empoisonnée. Extérieurement, elle semblait belle, blanche et rouge, si bien qu'elle faisait envie à quiconque la voyait ; mais il suffisait d'en manger un tout petit morceau pour mourir.
Quand tout fut prêt, la reine se farda le visage et se déguisa en paysanne. Ainsi transformée, elle franchit les sept montagnes pour aller chez les sept nains. Elle frappa à la porte. Blanche-Neige se pencha à la fenêtre et dit:
- Je n'ai le droit de laisser entrer quiconque ici ; les sept nains me l'ont interdit.
- D'accord ! répondit la paysanne. J'arriverai bien à vendre mes pommes ailleurs ; mais je vais t'en offrir une.
- Non, dit Blanche-Neige, je n'ai pas le droit d'accepter quoi que ce soit.
- Aurais-tu peur d'être empoisonnée ? demanda la vieille. Regarde: je partage la pomme en deux ; tu mangeras la moitié qui est rouge, moi, celle qui est blanche.
La pomme avait été traitée avec tant d'art que seule la moitié était empoisonnée. Blanche-Neige regarda le fruit avec envie et quand elle vit que la paysanne en mangeait, elle ne put résister plus longtemps. Elle tendit la main et prit la partie empoisonnée de la pomme. à peine y eut-elle mis les dents qu'elle tomba morte sur le sol. La reine la regarda de ses yeux méchants, ricana et dit:
- Blanche comme neige, rose comme sang, noir comme ébène ! Cette fois-ci, les nains ne pourront plus te réveiller !
Et quand elle fut de retour chez elle, et demanda au miroir:
篇三:格林童话法语版LES PETITS NOEUDS
LES PETITS N?UDS
Il était une fois une fille, jolie comme un c?ur mais fainéante et désordonnée. Lorsqu'elle se mettait parfois à filer et tombait sur un petit n?ud dans la laine, elle arrachait aussit?t toute la touffe et la jetait à terre. Sa servante était une fille travailleuse et ramassait cette laine, la dénouait patiemment et la filait finement pour en tisser une étoffe et en faire une jolie robe.
La fille fainéante avait un jeune fiancé, et leur mariage approchait. La veille des noces, on dansa dans la maison et la fille travailleuse dansa à en perdre haleine. Et la fiancée lan?a
Tiens donc, comme la servante sait se divertir, dans la robe de ma laine qui lui sied à ravir !
Le fiancé entendit ces paroles et demanda ce qu'elles voulaient dire. La belle lui expliqua que la servante avait tissé l'étoffe de sa robe avec la laine qu'elle- même avait jetée. Dès qu'elle l'eut dit, le marié comprit que sa fiancée était une fainéante. Il la quitta, courtisa la fille travailleuse et l'épousa.
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